Ce foutu #mandatpassimple
C’est d’ailleurs le discours que tu dois avoir auprès de ton propriétaire.
Au niveau de la pédagogie, tu vas lui expliquer que le fait de travailler en mandat simple, tu ne vas pas travailler pour lui, mais tu vas travailler contre ton confrère, donc contre ton concurrent.
On ne peut pas lui proposer une expérience client qui sera la même sur le mandat simple ou de mandat exclusif.
Sur le mandat simple, tu ne vas pas gérer tous les tenants et les aboutissants, pas de confort et sérénité de travail pour toi.
Et si tu n’as pas un certain confort, tu ne peux pas bien travailler.
Et la vraie chose qu’on peut dire aux propriétaires, c’est de dire aujourd’hui et on a une anecdote et c’est même une réponse à l’objection type alors les objections type, on en parlera.
Les objections vendeurs, sont toutes les mêmes depuis la nuit des temps.
Il suffit de les apprendre.
L’inconfort, n’est pas que pour nous, il est pour le vendeur, pour preuve:
Histoire de Mme DuPont
Et le seul qui peut profiter du mandat tout sauf simple, c’est l’acheteur.
Voilà pour le mandat simple, le sujet est clos.
Tu dois donc déjà être convaincu, et si tu te dis encore, “moi en mandat simple, j’ai de bons résultats aussi”, ce sera difficile d’aller à ton objectif de 100% exclusivité.
Je t’invite à regarder tes chiffres et taux de transformation.
Très souvent quand un conseiller me dit ceci, c’est un ressenti et non un constat. A nouveau, la seule chose qui ne ment pas, c’est les chiffres.
À partir du moment où tu vas avoir une connaissance parfaite de toi, comme peut l’avoir un sportif de haut niveau ou un performeur qui fasse de la scène, chanteur, humouriste ou autre, tu vas changer tout ton état d’esprit, et la seule chose qui va dicter ton business plan parce que tu dois avoir un business plan.
Travaille, et réfléchis comme un chef d’entreprise, comme un entrepreneur, sinon ça ne pourra pas fonctionner sur le long terme.
Une fois que tu as compris que tu vas faire une multitude d’actions pour rien, tu vas arrêter de les faire.
D’ailleurs très souvent, les ventes que tu as faites avec un mandat simple ont été compliquées parce que jusqu’au dernier moment, tu as peur de te faire doubler, ou qu’il y ait un nouvel inconnu dans l’équation.
Quand est-ce que tu te mets à arrêter de faire du simple ? Une bonne fois pour toute.
En septembre 2019, j’ai demandé à mes deux conseillers salariés de ne plus prendre d’exclusivités, que c’était interdit.
Que s’est-il passé ?
Ils sont passé comme moi à un taux de 100% d’exclusivité.
Quand tu as un plan A, B, C,D, c’est très facile d’arriver aux D, d’ailleurs même, très souvent, on n’a même pas sorti le A.
Si tu en prends la décision solennelle aujourd’hui, contacte-moi sur les réseaux sociaux, et envoi moi cette phrase :
“Julien, à compter de ce jour, j’arrêt de faire des mandats simples”.
Tant que tu n’as pas pris une claque, que tu ne t’es pas fait avoir sur un mandat, que tu n’as pas fait le constat que tu venais de passer 20 heures sur un dossier qui t’as généré zéro chiffre d’affaires, tant que tu ne ressens pas la frustration la plus profonde, voir la colère, tu ne comprendras pas que tu es sur la fausse route. Perte de temps, d’argent, d’énergie.
Ne fais pas l’erreur de croire que le mandat simple est une opportunité, bien au contraire, les seuls gains en mandat simples sont des gains marginaux.
J’ai fait lors de l’Event’immo 3 l’interview de 3 Top conseillers immobiliers qui faisaient tous plus de 400 000Euros TTC de chiffre d’affaires.
Verdict, 95% de taux d’exclusivité.
SI ça t’intéresse, tu peux d’ailleurs retrouver cette interview en flashant ce QR code
Le plus dingue, c’est qu’il y a des conseillers qui prennent des claques depuis deux, cinq, dix ans et qui ne changent pas de comportement.