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nexte tes foutues croyances auto-limitantes

"Nexte" tes foutues croyances auto-limitantes

« Vous commencez à voler lorsque vous abandonnez vos croyances auto-limitantes et laissez votre esprit et vos aspirations atteindre de plus hauts sommets ». Brian Tracy. 

« Nous sommes ce que nous pensons. Tout ce que nous sommes résulte de nos pensées. Avec nos pensées, nous bâtissons notre monde. » Bouddha.

Souvent nous pensons savoir, en fait, nous ne savons pas, nous croyons seulement.

Nous croyons que ce n’est pas possible, alors nous n’essayons pas. Si nous essayons, nous le faisons sans conviction, sans réelle volonté. Et évidemment, comme il nous manque la volonté qui est nécessaire pour réussir, nous ne réussissons pas.

Nous devons croire pour réussir.

« Il vous suffit de croire à la réussite pour réussir. » David J. Schwartz 

Le problème que nous avons tous, c’est que souvent nous nous arrêtons trop tôt, parce que nous croyons que nous ne réussirons pas, parce que nous croyons que cette réussite n’est pas pour nous, parce que nous croyons que nous ne POUVONS pas réussir.

Ce qui nous freine vraiment, et nous empêche de réussir, c’est ce que nous croyons. Ce sont nos croyances qui nous limitent…

C’est pour cela qu’on parle de « croyances limitantes », de « croyances limitatives », ou encore de « fausses croyances ».

Une croyance limitante est un état d’esprit ou une croyance à ton sujet qui te freine d’une manière ou d’une autre. 

Elles se matérialisent par des pensées autos dévalorisantes qui constituent un frein à ton développement personnel.

Ces croyances découlent souvent d’un sentiment de négativité et de peur qui t’empêche d’atteindre ton plein potentiel et ta performance maximale.

Ces pensées correspondent à des idées préconçues que tu as, et peuvent également favoriser un état d’esprit négatif, et t’empêcher de saisir de nouvelles opportunités.

Ces croyances t’empêchent de donner le meilleur de toi-même, de te lancer, d’entreprendre, et même de rêver. 

Elles sont de véritables obstacles sur le chemin de la réussite et de l’épanouissement personnel.

Elles t’enferment dans une zone de confort dont tu n’as pas envie de sortir. 

T’es-tu déjà dit : « Je n’en suis pas capable, ce n’est pas fait pour moi » ?

Sois rassuré tu n’es pas le seul ou la seule, tout le monde développe des croyances limitantes à un moment ou à un autre.

Par exemple, si tu te dis que tu n’es pas doué avec le téléphone, tu délaisseras sans jamais trop l’utiliser la pige et la prospection téléphonique.

Les croyances limitantes sont l’inverse des croyances aidantes, dynamisantes qui sont des ressources.

Elles ont le pouvoir de te construire ou de te détruire et sont à la base de tes décisions.

Une croyance est une permission, une autorisation à accomplir, à être, à vivre la vie que tu rêves.

Si tu as la faculté d’identifier une croyance, alors tu as le pouvoir de la remplacer.

On n’élimine pas une croyance, on la remplace.

Engage-toi dès demain à identifier tes croyances limitantes et à les remplacer par des croyances aidantes

Voyons maintenant d’où proviennent ces croyances limitantes.

Elles sont héritées, soit à partir de ce que l’on t’a appris, soit à partir de ta propre expérience. 

Tu fais ainsi dépendre ton futur de ton passé.

Les croyances naissent et vont accompagner toute ta vie.

Elles ont des origines multiples ; notre éducation, notre enfance, que ce soit par les parents, à l’école, par d’autres membres de la famille, ce sont souvent des phrases répétées ou non, qui vont s’ancrer dans notre esprit.

Elles vont évoluer tout au long de notre vie en se renforçant ou s’affaiblissant en fonction de nos expériences, des choses que nous vivons, des personnes autour de nous, de nos discussions.

L’environnement joue un rôle important sur nos croyances.

Par environnement je parle des personnes que l’on côtoie le plus souvent. Que ce soient les amis, la famille proche, les collègues de travail, le patron. Toutes ces personnes jouent aussi un rôle vis à vis des croyances de chacun.
Bien évidemment, c’est le plus souvent inconscient de leur part.

Je peux te parler d’une croyance limitante que j’ai eu, sur l’argent : 

Je n’étais pas à l’aise avec ces sommes pendant longtemps. 

Inconsciemment, je sais que ça n’a pas fonctionné au départ, je négociais toujours mes honoraires parce-que je n’étais pas à l’aise avec l’argent.  

Comment justifier d’aller chez un client, de prendre 15 000 euros quand ma mère gagne 1400€ par mois ? 

Inconsciemment cette situation me faisait cogiter et me bloquait. 

Je savais que ça allait réussir. J’en étais convaincu. Mais ces questions d’argent m’ont bloqué. 

« Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait. » Mark Twain 

 

L’idée, c’est que nous avons tendance à nous « conformer » à notre environnement, et à respecter inconsciemment certaines barrières mentales que cet environnement construit sur nous.

Par exemple, quand nous sommes enfants, nous imitons nos parents, et nous gardons par conséquent une partie de leurs habitudes, qu’elles soient bonnes ou mauvaises.

Cette remarque est valable par rapport à l’argent, par exemple.

Comme le dit Anthony Robbins, quand nous avons grandi dans la richesse, il nous suffit de copier la richesse. Cependant quand nous avons grandi dans un milieu plus populaire, alors c’est dans cet environnement que nous puisons nos modèles de conduite.

Quand nos parents sont cadres, nous grandissons dans un environnement qui cultive notre ambition dès notre enfance. Nos parents nous parlent déjà des métiers prestigieux que nous pourrons faire si nous travaillons bien à l’école : médecin, dentiste, chirurgien, astronaute…

Quand nos parents sont ouvriers, la barre est mise involontairement moins haute. Pour nos parents et notre entourage, un jeune qui trouve un emploi à la sortie de l’école et n’est pas au chômage, c’est un jeune qui a déjà à moitié réussi. Et si ce jeune a des diplômes qui lui permettent d’éviter l’usine, alors il a réussi…

J’ai moi-même grandi dans cet environnement et je sais pourquoi j’écris cela.

Si on nous a appris à penser petit, alors nous pensons petit. Et si on nous a appris à penser grand, alors nous pensons grand, tout simplement.

 

Il existe un autre générateur de croyances, ce sont les événements et les expériences que l’on vit…

Ils font tes croyances.

Tu as vécu dès l’enfance, des évènements qui vont provoquer une émotion (rejet, humiliation…). 

Cet événement associé à l’émotion va créer une forme de pensée qui va s’inscrire en toi. Plus cet événement va se produire, plus cette forme pensée va s’inscrire profondément en toi.

Dans notre vie, il y a des événements très forts, qui nous marquent pour toujours, et d’autres moins forts, mais vécus à plusieurs reprises, et en particulier pendant notre enfance.

Ces événements ont pu avoir une importance très forte sur nous, au point qu’ils ont pu changer des choses profondes en nous : notre vision du monde, notre façon de penser, nos croyances en nos capacités, nos croyances en nos limites, en ce que nous méritons, etc.

Exemple classique, lors de ta scolarité, tu n’avais pas le droit de poser de questions, de nombreuses années plus tad, tu as encore des difficultés avec ceci, cela ne te semble pas naturel… 

Quand tu retrouves avec du monde tu n’oses plus poser de question, que ce soit en formation ou même dans la rue !

Au fond de toi, quelque chose te freine.

Voici un panel de croyances limitantes que tu peux avoir

 

Je n’en suis pas capable.

Je suis trop vieux/vieille ou trop jeune. 

Je n’ai pas assez de temps.

Je ne suis pas assez intelligent. 

Je n’ai pas suffisamment d’expérience.

Je ne réussirai jamais à travailler qu’en exclusivité.

Je n’ai pas assez d’argent.

Je ne ferai jamais partie des meilleurs.

Je ne suis pas assez doué.

La vie est dure.

Les autres sont meilleurs que moi.

Je ne peux pas travailler 100% en exclusivité.

Je ne mérite pas d’être riche, voici une croyance limitante que j’ai trainé pendant très longtemps

Voici trois exemples de réponses à tes croyances limitantes :

“C’est dangereux d’essayer quelque chose de nouveau”

Pose-toi la question suivante : « Comment puis-je essayer quelque chose de nouveau en respectant mon besoin de sécurité ? »

“Je suis trop vieux pour apprendre quoi que ce soit”

Pose-toi la question suivante :: « Comment puis-je apprendre quelque chose maintenant en respectant mon rythme de vie ?” 

“Je ne suis pas assez bon commercial pour réussir”

Pose-toi la question suivante : “Comment obtenir ce que je veux avec les compétences dont je dispose actuellement ?”

“Je suis trop timide pour faire ce métier”

Pose-toi la question suivante : “Comment puis-je rencontrer des gens en utilisant les autres qualités que je possède déjà ?”

“Je ne suis pas capable de travailler qu’en exclusivité”

Pose-toi la question suivante : “Comment puis-je réaliser ce projet en me sentant plus sûr de mes compétences et de mes capacités ?”

Je vais te raconter l’histoire de Anne, qui rêve d’être propriétaire.

Anne est actuellement locataire, et son rêve le plus cher est d’être propriétaire de son propre appartement.

Elle n’a pas encore franchi le pas de cette acquisition.

Et lorsque je lui ai demandé pourquoi, elle m’a répondu je ne réussirais jamais à me payer un appartement comme je souhaite, ce n’est pas pour moi.

Alors je lui demande pourquoi, elle me répond à nouveau ce n’est pas pour moi, je ne suis qu’une caissière !

Ce qui est fou, c’est qu’elle ne s’est jamais demandé ce qu’elle pouvait faire pour y arriver.

Pourtant différentes solutions s’offrent à elle.

Elle pourrait effectuer une formation, et trouver un emploi mieux rémunéré.

Elle pourrait aussi déménager sur un secteur où les prix de l’immobilier sont plus bas.

Elle pourrait aussi arrêter de fumer son paquet de cigarettes journalier, et économiser trois cents euros chaque mois.

Enfin les solutions il en existe beaucoup.

Hugo, de son côté rêve d’être conseiller en immobilier, mais pour lui ce n’est pas possible pour une raison toute simple, il n’a pas fait d’études, et n’a aucune notion de commerce.

Pourtant, Hugo, dans son travail actuel est très empathique, rigoureux, il est aide-soignant.

Quand j’échange avec lui, il me dit que le job de conseiller en immobilier est bien trop difficile pour lui et qu’il préfère continuer ce job qu’il fait depuis maintenant 10 ans, mais dont il a fait le tour, et il n’est plus épanoui.

Et il me dit qu’il regarde toutes les émissions immobilières en replay M6 et qu’il connait toutes les répliques par cœur.

Mais ce rêve n’est pas pour moi, il y a trop de concurrents ici.

Pourtant il existe bien des solutions à nouveau pour Gaël, Il pourrait prendre un congé sans solde, se donner un an, prendre des bonnes formations, se tourner vers une structure qui pourrait lui mettre le pieds à l’étrier.

Ces deux histoires fictives sont malheureusement monnaie commune dans notre société.

Comment surmonter les croyances limitantes ?

La solution est d’apprendre à les identifier afin de les surmonter et de lutter contre celles-ci. Tu dois impérativement travailler sur la connaissance et l’estime de soi.

Identifie et note tes croyances

La première étape pour surmonter tes croyances limitantes est de les identifier et de les noter.

Ceci est un excellent moyen de comprendre le processus de réflexion qui les sous-tend et de commencer à les surmonter.

Vérifie l’exactitude de tes pensées

Si mettre tes pensées par écrit n’est pas suffisant, il peut être utile d’analyser si tes croyances proviennent d’une source sûre ou si elles sont le fruit de ton imagination. 

Détermine s’il existe des preuves concrètes pour étayer ta croyance, ou si elle vient de la peur de l’inconnu ou d’une expérience passée. 

Utilise des affirmations positives

Utiliser des affirmations positives est le meilleur moyen de te débarrasser des croyances limitantes. Les affirmations sont des phrases que tu te répètes à toi-même afin de renforcer ta confiance en toi. Je t’en ai parlé précédemment.

Formule des affirmations positives pour transformer tes croyances limitantes en croyances positives. Par exemple, si tu te dis que tu n’es pas assez doué pour y arriver, reformule cette croyance en te répétant que tu travailles dur et que tu mérites de réussir à atteindre ton objectif. 

Par conséquent, tu peux éliminer toute pensée négative en la rendant positive.

Reformule « Je ne suis pas capable de le faire » en « J’ai toutes les compétences nécessaires pour réussir tout ce que j’entreprends ».

Reformule « Je n’ai pas assez de temps pour me consacrer à faire du sport » en « J’ai la capacité de réorganiser mon temps afin de me concentrer sur l’essentiel ».

Ne baisse pas les bras

Pour finir, ne baisse jamais les bras en cas de croyances limitantes.

L’important est de persévérer pour surmonter la croyance limitante et de ne pas la laisser te freiner. 

Bien qu’il soit facile de se laisser envahir par l’émotion lorsque l’on traverse une mauvaise passe, prenez quelques minutes pour repousser ces pensées limitantes. Parfois, il suffit d’une bouffée d’air frais pour reprendre ses esprits. 

Tu as aussi d’autres possibilités, chercher des exemples inspirants pour trouver une (ou des) raison(s) d’y croire, visualiser sa propre réussite ou encore oser et passer à l’action pour les déconstruire.

Je vais te faire une métaphore que tu vas aisément comprendre :

Initialement, ton cerveau est un champ vierge.

Au fur et à mesure de la vie tu as, même de façon inconsciente intégré à ce champ à la terre si fertile une multitude de graines, en fonction de ton environnement, des événements que tu as vécu, de tout ce que je t’ai expliqué précédemment.

Avec le temps, ces graines ont poussé et sont devenues des mauvaises herbes qui sont en fait des croyances limitantes.

Il y a aussi bien entendu des belles fleurs sur ton champs.

Si tu veux reprendre le contrôle de ce champ et avoir uniquement des fleurs, la chose à faire est très simple, tu vas retirer toutes les mauvaises herbes et les remplacer par les plantes que tu aimerais y voir, des croyances et aidantes et dynamisantes.

Tu dois élargir chaque jour ta zone de confort

Quoi de plus naturel que la résistance au changement !

Tu dois pourtant trouver le courage d’évoluer en permanence.

La zone de confort est un état psychologique dans lequel une personne se sent à l’aise. Dans cette zone, elle peut garder le contrôle tout en éprouvant un faible niveau de stress et d’anxiété. 

L’être humain est programmé pour évoluer dans sa zone de confort, s’asseoir à côté de quelqu’un qu’il connaît, ou toujours à la même place à la table familiale, ne pas changer ses habitudes et créer des routines peu utiles au développement personnel.

C’est pour cela que les changements génèrent des résistances

Sortir de sa zone de confort est l’art de développer une nouvelle ressource, de se dépasser, afin de résoudre une situation ou de monter en compétence. 

Le cycle d’apprentissage est lié au « savoir sortir de sa zone de confort », même si cela génère parfois une résistance, tu dois changer.

Deux solutions s’offrent à toi : rester dans la zone de confort en écoutant toutes les excuses qui t’empêchent d’apprendre et d’avancer autrement, ou tenter de faire différemment ;

Tu dois dire top au Déni. 

Dès que tu te sens de l’inconfort dans une situation, il pourrait venir te « réconforter » et te dire de ne rien changer, que l’autre a tort et que tu n’as rien à changer ! 

La routine et l’inertie dans le travail renforcent les zones de confort. La clef est donc de changer et d’être disruptif vis-à-vis de sa vie.

Tu dois avancer, avoir confiance en toi, c’est impératif.

Tu dois être formaté à la gagne, indestructible, inarrêtable en toute circonstance.

Tu dois avoir des ancrages positifs afin de te sortir de toutes situations négatives et de te programmer à être dans un état d’esprit positif.

On attire à nous nos émotions et nos pensées dominantes, il ne faut donc jamais de négatif.

A compter de ce jour, utilise la formulation « J’ai une situation temporaire à résoudre », et n’utilises plus le mot « problème ».

Le monde est tel que nous le voyons chaque matin dès qu’on se lève.

Tu as un potentiel sans limite, et tu dois garder ceci en tête.

Penses-tu que je me sois dit, « je viens de Bouillargues au fin fond de la France, je suis l’ainé de parents qui n’ont eu le Bac, et pas crée d’entreprise, d’une mère née dans l’enclave Espagnole de Melilla au Maroc, de nationalité espagnole.

Je ne peux pas vivre mes rêves, en créant le plus bel évènement dédié aux Agents et conseillers immobiliers, en montant une boite hors norme, la première structure hybride entre agences immobilières et conseillers indépendants, gagner 3 fois consécutivement le prix d’agence de l’année, et rédiger ce livre que je t’offre ou tu as juste payé les frais d’impression et de livraison, pour même pas le prix de deux paquets de cigarettes, ou d’un mojito !

A chaque fois que tu dis oui à quelqu’un, assures-toi de ne pas te dire non à toi-même. Tu dois apprendre à dire non, j’y reviendrai plus tard.

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